Chaque semaine, Victor et Louise choisissent chacun et chacune une nouvelle recette. Après les pâtes (Oui Jacinthe et Jasmin, les fameuses pâtes du frigo de Bédarrides) au thon, roquette et citron de Victor, Louise nous prépare pour ce soir des "Braised Lamb Shanks with Lemon Risotto". Voilà à quoi servent les "Bon Appétit". Merci à Anne-Marie.
je peux m'inviter à dîner (à souper) ... je n'ai rien dans mon frigo ? avec le tgv je peux être à l'heure !
RépondreSupprimerMiam, recette de quel mois?
RépondreSupprimerj'ai oublié de te dire Louise, que je me suis achetée des petites bottines en "soldes" non pas rouges mais grises avec un talon de 7 cm ! c'est très chic!
RépondreSupprimerl'agneau braisé: octobre 2010
RépondreSupprimerMmm... Je m'ennuie de votre bouffe!
RépondreSupprimerAlors...elle est bonne cette recette??? J'arrive....La bouffe, ça fait bien parler le monde...surtout des plats comme ceux-là.
RépondreSupprimerje vois que nous sommes plusieurs à se poser la question: le plat était_il à la hauteur de votre attente ? est-il à refaire ? un jour pourra t on le déguster ?
RépondreSupprimer@ Lucille...Tu sais qu'Andrée sera à la retraite l'hiver prochain? Elle pourrait devenir ta traiteuse privée en Floride.
RépondreSupprimerLa recette est à refaire par des retraités car il faut avoir du temps devant soi. C'était effectivement bon et le risotto bien réussi.
RépondreSupprimerTellement impressionnée par ton commentaire littéraire que je suis allée fouiller...et trouver le poème.. Ça vaut la peine de le mettre sur le blog de nos voyageurs....
RépondreSupprimerMa Bohême. (Fantaisie)
Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal :
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !
Mon unique culotte avait un large trou.
− Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
− Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !