On en avait pas mal entendu parler car Philippe Antoine y avait une maison d'été dont avait profité Annick il y a de cela plusieurs années (Philippe y a fêté son premier anniversaire si je me rappelle bien).
Nous y sommes allés par un bel après-midi; un circuit touristique nous fait zigzaguer dans le centre ville à la découverte d'une quarantaine de fontaines. Il semble qu'une autre centaine se cachent dans des bâtiments ou des jardins privés. Deux heures de tranquille bonheur. On a une pensée pour Lama en voyant sur la place une épicerie fine; surement qu'elle y aurait laissé plusieurs euros. Peut-être y reviendrons-nous dimanche car il y a un vide-grenier (ce serait notre premier cette année).
samedi 26 février 2011
dimanche 20 février 2011
Arles et lA Camargue
Avec l'aide de madame Meteo, nous nous sommes levés plus tôt et somme partis plein sud vers Arles où se tenait le marché; immense le marché avec son coin de fringues que nous avons délaissé, son coin de bébelles de tout genre où nous ne nous sommes pas attardés non plus pour consacrer plus de temps à la bouffe. Nous nous sommes baladés dans les petites rues de la vielle ville en passant par le théâtre et l'amphithéâtre (les arènes).
Puis nous avons filé vers la Camargue. Les achats faits au marché nous ont permis un pique-nique au bord de la mer. Particulièrement austère en cette saison, la Camargue prend même parfois des airs de région sinistrée. Il faut savoir apprécier sa tranquillité. Les chevaux blancs étaient au rendez-vous mais ce n'est pas la saison des flamands.
Bien sur on a acheté de la fleur de sel pour les becs fins qui viendront.
Puis nous avons filé vers la Camargue. Les achats faits au marché nous ont permis un pique-nique au bord de la mer. Particulièrement austère en cette saison, la Camargue prend même parfois des airs de région sinistrée. Il faut savoir apprécier sa tranquillité. Les chevaux blancs étaient au rendez-vous mais ce n'est pas la saison des flamands.
Bien sur on a acheté de la fleur de sel pour les becs fins qui viendront.
vendredi 18 février 2011
Lama est là
Lama a quitté la grisaille de Paris pour le soleil de Bédarrides. Café sur notre terrasse. Un avant-goût pour les autres visiteurs et visiteuses à venir.
Hier, jour de pluie, séance de cinéma à Avignon: Incendies. Mériterait certainement l'Oscar du meilleur film étranger (dixit Victor).
Aujourd'hui, le soleil est au rendez-vous.
Hier, jour de pluie, séance de cinéma à Avignon: Incendies. Mériterait certainement l'Oscar du meilleur film étranger (dixit Victor).
Aujourd'hui, le soleil est au rendez-vous.
lundi 14 février 2011
Gap
Non, Gap n'est pas qu'une chaîne de vêtements mais surtout la ville où habitent nos amis de longue date, Dominique et Luc.
Pour s'y rendre, nous avons emprunté les routes de campagne, traversant les champs de lavande, serpentant les routes de montagne (Mont Ventoux), roulant dans de magnifiques gorges, passant de l'automne à l'hiver, bref, un vrai délice. Seule ombre au tableau, Louise a échappé ses lunettes de soleil en voulant prendre la photo du pont. Nous sommes revenus sur place pour les rechercher et, à notre grande frustration, avons aperçu un débile en train de les lancer dans la rivière.
L'accueil chez les Legoux-Bontemps a été comme toujours fort sympathique. Si le samedi a été consacré à boire et à manger et à visiter les nombreuses sculptures réalisées par Luc le sculpteur (voir son site web en tapant sur google "luc legoux sculptures, ça vaut vraiment la peine), dimanche a été l'occasion d'une longue marche dans les sentiers qui longent le quartier.
Les lunettes sont là, on le sait, mais inaccessible...
Et nous qui croyions éviter la neige.
Céramique de Luc, inspiré de Miro
Autour du renne (voir le site de luc legoux sculptures)
La muse de Luc, Dominique jouant de la clarinette
Ouf! Ça monte...
Au retour, nostalgie oblige, un petit détour par Upaix.
Pour s'y rendre, nous avons emprunté les routes de campagne, traversant les champs de lavande, serpentant les routes de montagne (Mont Ventoux), roulant dans de magnifiques gorges, passant de l'automne à l'hiver, bref, un vrai délice. Seule ombre au tableau, Louise a échappé ses lunettes de soleil en voulant prendre la photo du pont. Nous sommes revenus sur place pour les rechercher et, à notre grande frustration, avons aperçu un débile en train de les lancer dans la rivière.
L'accueil chez les Legoux-Bontemps a été comme toujours fort sympathique. Si le samedi a été consacré à boire et à manger et à visiter les nombreuses sculptures réalisées par Luc le sculpteur (voir son site web en tapant sur google "luc legoux sculptures, ça vaut vraiment la peine), dimanche a été l'occasion d'une longue marche dans les sentiers qui longent le quartier.
Les lunettes sont là, on le sait, mais inaccessible...
Et nous qui croyions éviter la neige.
Céramique de Luc, inspiré de Miro
Autour du renne (voir le site de luc legoux sculptures)
La muse de Luc, Dominique jouant de la clarinette
Ouf! Ça monte...
Au retour, nostalgie oblige, un petit détour par Upaix.
samedi 12 février 2011
jeudi 10 février 2011
Catastrophe à Bédarrides
Sniff! Sniff! Notre beau pont historique, le joyau de Bédarrides, a été endommagé cette nuit. Il s'agirait, selon l'inspecteur Piché, d'un automobiliste voyant double, ce qui en l'occurrence aurait dû le favoriser étant l'étroitesse du pont. La population de Bédarrides est en émoi. Selon les discussions animées tenues à la boulangerie Boulevard Bouquimard, on en aurait pour quelques mois, car il semble que l'impact aurait fait bouger le pont.
lundi 7 février 2011
Escapade à Nice
Pour la première fois de notre vie de couple, on ne s'est pas fait de cadeau de Noël cette année. Pas de vraiment bonne idée, pas de place dans les valises, on s'est dit qu'on se payerait une traite: soit un hôtel chic soit une bouffe spéciale.
Tannés du vent, attirés par la température annoncée à Nice, on part vendredi pour le weekend. A l'aller on prend les petites routes que nous indique le GPS; on coupe parfois par des chemins défoncés à peine larges pour une voiture. C'est drôle, cela nous fait presque passer dans la cour des gens.
Pas un nuage dans le ciel de Nice quand on y arrive sur le coup de trois heures. On dépose les bagages à l'hôtel où on discute avec les nouveaux propriétaires de la villa qui compte 5 chambres; ils viennent de la Normandie, ont pris leur retraite, ont mis leur maison en location et se sont achetés cet hôtel: la villa des Cygnes. Ils y sont depuis novembre seulement. Ils font tout pour le moment car ils ne trouvent pas de personnel...Ah ces Français qui ne veulent plus travailler!Va falloir faire venir la main d'oeuvre!
On descend sur la promenade des Anglais à moins de cinq minutes de l'hotel. Une balade en bord de mer et on s'assoit à un café sur des chaises installées dans les galets pour un petit café en regardant le soleil se coucher.
Le lendemain, après avoir traîné au marché de la Place Saleya, on passe au crible toutes les ruelles du vieux Nice dont certaines ont carrément l'air d'allées de medina. On déjeune au soleil après avoir mis du temps à trouver une place en terrasse au soleil; elles sont bondées de monde alors que celles à l'ombre sont vides. Pas plus fous que nous les Niçois.
Le soir (vous aurez compris que nous avons opté pour le resto gastronomique), direction l'Aphrodite. La semaine précédente nous avions vu un entrevue avec le jeune chef qui avait fait saliver Louise(ses plats, pas le chef). Comme Victor accepte toujours ses choix, la réservation avait été prise. Heureusement car c'était plein. Difficile de vous décrire ce que nous avons mangé tellement c'était des compositions jamais vues. Nous avons pu admirer aux tables voisines certains plats à effets spéciaux hauts en couleur. DÉLICIEUX!! Malheureusement pour vous, nous n'avions pas notre camera.
Dimanche, la dame nous avait préparé un plat muesli et pommes qu'elle disait être une recette canadienne. Un peu d'exercice au bord de la mer et on reprend la route mais cette fois en longeant la corniche jusqu'à Saint-Raphaël. La route entre Cannes et Saint Raphaël est magnifique à la condition d'être assis en avant. A ne pas recommander à ceux qui ont le mal des transports.
A six heures on rentrait tranquillement à la maison; il faisait encore 15 degrés à l'extérieur et le vent était tombé en notre absence.
Tannés du vent, attirés par la température annoncée à Nice, on part vendredi pour le weekend. A l'aller on prend les petites routes que nous indique le GPS; on coupe parfois par des chemins défoncés à peine larges pour une voiture. C'est drôle, cela nous fait presque passer dans la cour des gens.
Pas un nuage dans le ciel de Nice quand on y arrive sur le coup de trois heures. On dépose les bagages à l'hôtel où on discute avec les nouveaux propriétaires de la villa qui compte 5 chambres; ils viennent de la Normandie, ont pris leur retraite, ont mis leur maison en location et se sont achetés cet hôtel: la villa des Cygnes. Ils y sont depuis novembre seulement. Ils font tout pour le moment car ils ne trouvent pas de personnel...Ah ces Français qui ne veulent plus travailler!Va falloir faire venir la main d'oeuvre!
On descend sur la promenade des Anglais à moins de cinq minutes de l'hotel. Une balade en bord de mer et on s'assoit à un café sur des chaises installées dans les galets pour un petit café en regardant le soleil se coucher.
Le lendemain, après avoir traîné au marché de la Place Saleya, on passe au crible toutes les ruelles du vieux Nice dont certaines ont carrément l'air d'allées de medina. On déjeune au soleil après avoir mis du temps à trouver une place en terrasse au soleil; elles sont bondées de monde alors que celles à l'ombre sont vides. Pas plus fous que nous les Niçois.
Le soir (vous aurez compris que nous avons opté pour le resto gastronomique), direction l'Aphrodite. La semaine précédente nous avions vu un entrevue avec le jeune chef qui avait fait saliver Louise(ses plats, pas le chef). Comme Victor accepte toujours ses choix, la réservation avait été prise. Heureusement car c'était plein. Difficile de vous décrire ce que nous avons mangé tellement c'était des compositions jamais vues. Nous avons pu admirer aux tables voisines certains plats à effets spéciaux hauts en couleur. DÉLICIEUX!! Malheureusement pour vous, nous n'avions pas notre camera.
Dimanche, la dame nous avait préparé un plat muesli et pommes qu'elle disait être une recette canadienne. Un peu d'exercice au bord de la mer et on reprend la route mais cette fois en longeant la corniche jusqu'à Saint-Raphaël. La route entre Cannes et Saint Raphaël est magnifique à la condition d'être assis en avant. A ne pas recommander à ceux qui ont le mal des transports.
A six heures on rentrait tranquillement à la maison; il faisait encore 15 degrés à l'extérieur et le vent était tombé en notre absence.
vendredi 4 février 2011
mardi 1 février 2011
On continue à découvrir
Châteauneuf-du-Pape est à quelques kilomètres de la maison. Tout le monde connaît la réputation du vin de la même dénomination. On ne peut pas se tromper, on est entouré de vignobles, châteaux, tant sur la route que dans le village lui-même. Historiquement, le village était également reconnu comme résidence secondaire pour les papes installés à Avignon (l'époque où il y avait deux papes!). Quant on voit le château (en ruine) et les quelques résidences autour, on peut imaginer le luxe dans lequel vivaient les représentants de Dieu. On découvre qu'il y a plusieurs randonnées dans les champs de vigne, donc à une prochaine fois.
Pour donner l'eau (le vin?) à la bouche: petite rue de Châteauneuf-du-Pape.
Un autre échantillon....
Le fameux chalet des papes!
Nous sommes retournés à Orange que nous avions visité rapidement avec Jacinthe, Jasmin, Maude et Antoine. On y a découvert un centre-ville fort sympathique.
Orange: Louise se cherche des petites bottines depuis son arrivée. Ah les petits pieds!
Depuis notre dernier passage à Orange, on a renommé cette place "La Place Maude Frenette"!
Pour donner l'eau (le vin?) à la bouche: petite rue de Châteauneuf-du-Pape.
Un autre échantillon....
Le fameux chalet des papes!
Nous sommes retournés à Orange que nous avions visité rapidement avec Jacinthe, Jasmin, Maude et Antoine. On y a découvert un centre-ville fort sympathique.
Orange: Louise se cherche des petites bottines depuis son arrivée. Ah les petits pieds!
Depuis notre dernier passage à Orange, on a renommé cette place "La Place Maude Frenette"!
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